Bleues : Faire le plein d’énergie

Avant de s’envoler pour le Brésil lundi soir, l’équipe de France féminine va jouer un dernier match amical face au Canada à Auxerre. Une rencontre qui se déroulera à guichets fermés et qui sera l’occasion de prendre un dernier bol d’énergie et conforter cette détermination à décrocher la médaille.

 

 

 

Cette semaine lors du point presse de l’équipe de France féminine à Clairefontaine, les joueuses de Philippe Bergerôo avaient de l’énergie à revendre et livraient des sourires à tout va. Sauf quand on posait la question d’une éventuelle médaille en août prochain, là les visages se fermaient. L’ambiance était donc au beau fixe malgré la souffrance physique de la préparation.

 
Energie et détermination

Les coéquipières de Wendie Renard sont embarquées dans le même bateau, « toutes logées à la même enseigne », unies pour aller conquérir cette première médaille de l’histoire du football féminin français. Comme ce dernier exercice lors de la séance mercredi. Chacune leur tour, les tricolores vont tenter de monter le plus rapidement une côte aussi courte que pentue à coté du terrain Platini à l’INF. Elodie Thomis au repos (détentrice du record de rapidité de l’exercice), c’est Kadidiatou Diani qui a signé le temps scratch. Une course répétée deux fois qui a fait mal aux jambes des intéressées mais elles se sont toutes soutenues dans la difficulté. « On veut surtout travailler le mental, pour aller au fond de soi. Quand je vois les filles finir le travail intermittent couchées par terre, c’est très positif. Plus elles auront mal ici, plus elles feront mal au Brésil », précise Philippe Bergerôo. Wendie Renard ajoute : « Après plusieurs années, des quatrièmes places et un quart de finale à l’Euro (2013), on a vraiment envie d’ouvrir notre palmarès et celui de l’équipe de France. C’est important de travailler et d’être récompensées en août prochain ». D’ailleurs rien n’est laissé au hasard durant cette préparation. La moindre petite douleur ou gêne musculaire est surveillée comme le lait sur le feu. C’est pour cela que durant cette semaine, les séances ont été allégées pour Amel Majri, Clarisse Le Bihan ou Louisa Necib par exemple. Car comme l’a dit Philippe Bergerôo, « je ne peux pas me permettre de partir avec une fille blessée car je n’ai que dix-huit filles ».

 
Le Canada à guichets fermés

Avant de s’envoler pour le Brésil, l’équipe de France va donc jouer un dernier match de préparation face au Canada à l’Abbé-Deschamps à Auxerre (l’une des onze villes candidates pour la Coupe du monde 2019). Contrairement à Charléty, cette fois le stade sera plein ce samedi soir. La rencontre se jouera à guichets fermés : 17 000 personnes attendent les Bleues en Bourgogne. De quoi faire le plein de bonnes ondes avant de se tourner vers le Brésil. « On sent que cela se rapproche. On est encore dans notre préparation. On essaie de prendre de l’énergie en France car on sait que l’on aura très peu de supporters là-bas », confie Wendie Renard. Une affluence qui confirme l’engouement autour de ces Bleues à travers la France après le record d’affluence à Rennes début juin face à la Grèce (24 835 personnes). Une victoire comme en avril 2015 à Robert Bobin serait bénéfique pour la confiance aussi. Le Canada sera d’ailleurs un bon test physique à ce stade de la préparation. Il ne faudra juste pas connaître derrière la même fin lors de la compétition que pendant de la Coupe du monde.

Cette semaine lors du point presse de l’équipe de France féminine à Clairefontaine, les joueuses de Philippe Bergerôo avaient de l’énergie à revendre et livraient des sourires à tout va. Sauf quand on posait la question d’une éventuelle médaille en août prochain, là les visages se fermaient. L’ambiance était donc au beau fixe malgré la souffrance physique de la préparation.

 

Energie et détermination

Les coéquipières de Wendie Renard sont embarquées dans le même bateau, « toutes logées à la même enseigne », unies pour aller conquérir cette première médaille de l’histoire du football féminin français. Comme ce dernier exercice lors de la séance mercredi. Chacune leur tour, les tricolores vont tenter de monter le plus rapidement une côte aussi courte que pentue à coté du terrain Platini à l’INF. Elodie Thomis au repos (détentrice du record de rapidité), c’est Kadidiatou Diani qui a signé le temps scratch. Une course répétée deux fois qui a fait mal aux jambes des intéressées mais elles se sont toutes soutenues dans la difficulté. « On veut surtout travailler le mental, pour aller au fond de soi. Quand je vois les filles finir le travail intermittent couchées par terre, c’est très positif. Plus elles auront mal ici, plus elles feront mal au Brésil », précise Philippe Bergerôo. Wendie Renard ajoute : « Après plusieurs années, des quatrièmes places et un quart de finale à l’Euro (2013), on a vraiment envie d’ouvrir notre palmarès et celui de l’équipe de France. C’est important de travailler et d’être récompensées en août prochain ». D’ailleurs rien n’est laissé au hasard durant cette préparation. La moindre petite douleur ou gêne musculaire est surveillée comme le lait sur le feu. C’est pour cela que durant cette semaine, les séances ont été allégées pour Amel Majri, Clarisse Le Bihan ou Louisa Necib par exemple. Car comme l’a dit Philippe Bergerôo, « je ne peux pas me permettre de partir avec une fille blessée ».

 

Le Canada à guichets fermés

Avant de s’envoler pour le Brésil, l’équipe de France va donc jouer un dernier match de préparation face au Canada à l’Abbé Deschamps à Auxerre (l’une des onze villes candidates pour la Coupe du monde 2019). Contrairement à Charléty, cette fois le stade sera plein ce samedi soir. La rencontre se jouera à guichets fermés : 17 000 personnes attendent les Bleues en Bourgogne. De quoi faire le plein de bonnes ondes avant de se tourner vers le Brésil. « On sent que cela se rapproche. On est encore dans notre préparation. On essaie de prendre de l’énergie en France car on sait que l’on aura très peu de supporters là-bas », confie Wendie Renard. Une affluence qui confirme l’engouement autour de ces Bleues à travers la France après le record d’affluence à Rennes début juin face à la Grèce (24 835 personnes). Une victoire comme en avril 2015 à Robert Bobin serait bénéfique pour la confiance aussi. Le Canada se d’ailleurs un bon test physique à ce stade de la préparation. Il ne faudra juste pas connaître derrière la même fin lors de la compétition que lors de la Coupe du monde.

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