Surface Mag : Juvisy à la loupe

Dans son nouveau numéro en kiosque depuis lundi, Surface Mag est parti à la découverte du club de Juvisy. Une immersion qui permet de voir le quotidien et les valeurs du club essonnien. Foot d’Elles vous en propose quelques extraits.

 

 

 

 

Son dernier titre en date en championnat remonte à la saison 2005-2006 (le sixième au total). Le dernier avant le règne lyonnais. Depuis le FC Juvisy s’accroche et se développe à sa manière tout en restant dans le haut de tableau face aux armadas rhodaniennes et parisiennes. Sa structure, à la fois amateur et performante, a attiré l’œil de la rédaction de Surface Mag. Le magazine a décidé dans son nouveau numéro, en kiosque depuis lundi , de s’arrêter dans l’Essonne pour partir en immersion avec les coéquipières de Gaêtane Thiney : « Que ce soit chez les plus calés ou les novices, un club revient sans cesse lorsque l’on évoque le football féminin : Juvisy. Impossible de passer à côté quelle que soit sa culture du football pratiqué par ces dames ».

 

Un reportage intitulé « Who run Juvisy ? », illustré de nombreuses photos et long d’une dizaine de pages, qui raconte la naissance du club dans les années 70 et qui vous plonge dans l’ADN juvisien. Son côté familial où les anciennes joueuses intègrent le staff du club après leur carrière, comme Marinette Pichon qui garde toujours un œil sur ses joueuses de son bureau au stade Robert Bobin. Quelques moments d’intimité dans les vestiaires y sont également décrits : « Au compte-gouttes, les joueuses arrivent, se changent les unes après les autres ou par petit groupe. Ça discute beaucoup. Normal, ce sont des filles. Ça parle de foot, commente les résultats des matchs de L1 de la veille mais aussi des à-côtés. Et lorsque l’une d’entre elles pose pour une photo, les autres ne se gênent pas pour chambrer. « Belle gosse » entend-on à chaque clic ». Sans surprise, on y lit le rôle de Gaëtane Thiney lors des entraînements : « Parmi elles, la capitaine a forcément un rôle particulier. Titulaire d’un diplôme de professorat de sport, Gaëtane Thiney a ça dans le sang. Au milieu de la séance d’entraînement et sous les yeux du coach, elle arrête la phase de jeu en cours afin d’expliquer à ses coéquipières comment ressortir le ballon proprement ». Enfin, l’article insiste sur l’aspect du double projet. À Juvisy les joueuses, semi-professionnelles, sont accompagnées pour préparer leur reconversion. Un système adopté presque par obligation, mais qui fonctionne plutôt bien depuis pas mal d’années.

 

A lire en intégralité dans Surface Mag

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