Les feux verts s’allument. Cet après-midi, les 23 joueuses tricolores retenues pour disputer la Coupe du Monde et les sept réservistes sont donc attendues à Clairefontaine pour le début de la préparation pour le Mondial. Un cycle qui durera presque trois semaines avant le départ pour le Canada. A l’exception des Parisiennes qui disputeront ce jeudi la finale de la Ligue des Champions à Berlin et de Sandie Toletti, blessée. Une première semaine durant laquelle les entraînements seront ouverts au public.
Makanza remplace Toletti
C’est la première mauvaise nouvelle de la préparation. Blessée à la cheville droite face à Juvisy (le 3 mai lors de la 21e journée de D1), Sandie Toletti renonce donc au rassemblement à Clairefontaine. « Les staffs médicaux du HSC Montpellier et de l’équipe de France ont constaté son indisponibilité pour une longue durée. D’un commun accord, ils ont laissé la milieu de terrain à la disposition de son club« . Retenue parmi les sept réservistes pour la prochaine Coupe du Monde féminine (6 juin – 5 juillet au Canada), elle est remplacée par sa coéquipière Marina Makanza (HSC Montpellier).
Trois semaines de stage au programme
Quelques jours avant leur premier match amical face à la Russie à Châteauroux le 22 mai, les Bleues auront le droit à un stage de cohésion de 48 heures une fois les Parisiennes revenues de la Ligue des Champions. Histoire de consolider les liens existant au sein du groupe. Philippe Bergeroô a pour l’instant gardé le secret sur le contenu de ce stage qui devrait avoir lieu le week-end des 16 et 17 mai. Après la Russie, l’équipe de France enchaînera avec son deuxième match amical face à l’Ecosse le 28 mai à Nancy. Deux stades qui n’ont pas été choisis au hasard puisque les deux enceintes possèdent une pelouse synthétique. Deux rencontres qui permettront de voir comment les organismes réagiront à la répétition des efforts sur cette surface.
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